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Farage, Verhofstadt, Tsipras, ambiance électrique au parlement Européen Union Européenne

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Guy Verhofstadt, ancien premier Ministre Belge et président du groupe parlementaire « Alliance of Liberals and Democrats for Europe » (ALDE) donne une véritable leçon au premier Ministre Grec, Alexis Tsipras : « Je dois vous dire que je suis en colère parce que vous parlez de réformes mais nous ne voyons jamais de propositions concrètes ! »

Guy Verhofstadt se permet d’énumérer les cinq reformes à mettre en place immédiatement en Grèce :

  1. mettre fin au système clientéliste en Grèce
  2. dégrossir le secteur public
  3.  transformer les banques publiques en secteur bancaire privé
  4. ouvrir les marchés publics et les professions pour les jeunes
  5. arrêter les privilèges en tout genre en Grèce

 

Alexis Tsipras répond

Tsipras au Parlement européen : les extraits par LCP

C’est ensuite au tour de Nigel Farage, président de l’UKIP, de parler directement au premier Ministre Grec : « C’est le moment de sortir de la zone euro la tête haute. Reprenez votre démocratie, reprenez le contrôle de votre pays, donnez à votre peuple le leadership et l’espoir qu’il cherche. »

Commentaires récents

  1. RAHEM Méziane

    Intervention clair et nette de Monsieur Nigel Farage , et cela est valable pour tout les pays de la zone euros

    1. Julien

      Ne pas oublier que Nigel Farage, aussi clair soit-il dans son expression, est le leader d’un parti d’extrême droite britannique anti-UE et aux positions très contestées dans son propre pays.

  2. bonfils

    Monsieur Farage à raison il faut ce libéré de cette dictature de l’UE, piloté par les USA avec la complicité de la haute finance et de l’oligarchie mondialiste, cette UE n’est pas réformable, c’est également valable pour le France et toute les autre nations, avec le libre circulation des biens et capitaux, l’ouverture des frontières qui à laisser entrer tout les produits asiatique sans les moindre protectionnisme ils ont détruit l’industrie et l’économie de tout les pays, que les 1% de marchands, de banquiers et de multinational qui en on bien profiter paient l’addition.
    J’espère que le fin de cette dictature de cette forme de capitaliste ce fait le plus vite possible pour que enfin les pays d’Europe puissent se relever.

    1. Jean

      Farage a parle de la zone euro, pas de l’UE. Il y a la une grosse difference.

  3. Jigsaw

    Ce sont tous des cols blancs…. alors ne nous attendons pas aux miracles

  4. Jigsaw

    Le discours de Farage est véridique et Tsipras peine à cacher ses émotions…

  5. oueo

    Quel talent d’orateur ce verhovstadt!!

    1. fred

      Oui, un orateur digne du « Drittes Reich »

  6. rampage

    la traductrice sur la vidéo ou Mr Tsipras répond,est horrible a entendre et parfois incompréhensible,est ce fait exprés ou est ce une réelle incompétence de cette traductrice?

  7. Vincent100

    Verhofstadt est un cumulard de première, en abusant sans doute de son statut de parlementaire européen, ce qui lui permet d’éviter les taxes qu’ils voudrait tant faire payer aux « riches pensionnés grecs ». Il est donc l’obligé de grosses sociétés privées tout en devant voter des lois qui impactent ses employeurs. Enfin il ne doit pas forcer son talent, en bon flamingant il récupère pour la Grèce sa rhétorique haineuse qu’il utilisait jadis contre la Wallonie. Un vrai européen en somme, il n’était pas capable d’oeuvrer pour maintenir uni un pays de 30000 kilomètres carrés et 10 millions d’habitants, normal qu’il oeuvre pour une Europe unie!

  8. Champignac

    Verhofstadt est une caricature. Le « parlement » européen, dont la majorité des lois votées sont issues des 11000 groupes de pressions encerclant ce dernier, est un exemple type de ce que nous pouvons qualifier de dictature technocratique moderne.
    L’appui fait par ces clowns parlementaires aux lois sont proportionnels aux rétrocommissions ou autres pot de vins qu’ils toucheront pour service rendus. C’est une des principales raisons qui font que nous nous orientons de plus en plus vers des tribunaux d’arbitrages voulus par les corporations transnationales car, en vérité, les parlementaires travaillent déjà pour eux et non pour le « peuple », notion confuse qui, à l’ère technocratique, n’a du sens que pour nous autres gueux moyens.
    Le système des « revolving doors » permet à ces « politiques » de passer de ces corporations aux postes clés des administrations, ou de cumuler les postes, pour adapter l’architecture du système aux volontés des propriétaires du capital.
    Voilà pourquoi ce parlement et sa médiatisation n’est que poudre aux yeux. Sans compter le parlement juif européen et les nombreuses questions qu’il soulève. Notamment la légitimité de son existence et de sa fonction véritable.
    Afin de trouver un peu de justice pour le peuple il faut que ce gigantesque empire de merde s’effondre ou nous, petites gens, allons le payer très cher. Tout empire se construit toujours sur le malheur des classes populaires.
    Que l’UE crève!! 2005 = NON Mr Verhofstadt!
    Vous comprenez ce mot simple ou il vous faut un dictionnaire?

  9. dede

    la traduction grec et une horreur et fausse tout du moins il manque des phrases

  10. john

    C’est marrant, Farage ne parle jamais des banquiers anglais qui ont crées toute la me*** qui existe aujourd’hui, mais se focalise sur les allemands, les français voire les italiens…
    Politiciens, quand tu nous tiens…

    1. Mat

      heu… 2.23 il parle de Goldman Sachs, pas besoins d’énumérer toutes les banques ce qui est vrai c’est que les gouvernements ont été complices !

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